Pas d’arrêt d’usines ni de marques, mais cap sur une « mobilité propre, sûre et abordable », a détaillé Carlos Tavares lors de sa première conférence de presse en tant que directeur général de Stellantis. Un article de Julie Thoin-Bousquié pour l’Usine Nouvelle, le 20 janvier 2021.
Pas de fermeture d’usines
» En tête, la garantie de maintenir toutes les usines du nouvel ensemble, conformément aux promesses faites à l’annonce du projet de mariage entre PSA et FCA fin 2019. « Cette fusion joue le rôle de bouclier pour l’emploi » a répété à plusieurs reprises Carlos Tavares. « L’emploi ne représente que 10% des coûts totaux de fabrication d’un véhicule. Nous avons beaucoup de leviers à actionner avant de réduire les emplois », a voulu rassurer le dirigeant.
Les 5 milliards d’euros de synergies attendus de la fusion – un chiffre réévalué à la hausse depuis le début du projet – proviendront en fait à 35% des achats et à 40% de « la convergence de plateformes, modules et systèmes » ainsi que d’une « consolidation des investissements dans les moteurs thermiques, l’électrification et autres technologies ». Carlos Tavares a estimé que 80% de ces économies seraient disponibles d’ici à 2024. «
Article à retrouver sur le site de l’Usine Nouvelle : https://www.usinenouvelle.com/article/carlos-tavares-deploie-sa-methode-pour-placer-stellantis-au-sommet-de-l-automobile.N1050874
